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Etoiles Violet

𝐋𝐀 𝐒𝐎𝐔𝐅𝐅𝐑𝐀𝐍𝐂𝐄 𝐀𝐔 𝐓𝐑𝐀𝐕𝐀𝐈𝐋

  • maitikacoeurarcenc
  • 15 juil. 2024
  • 4 min de lecture

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L'histoire nous raconte que le travail rémunéré - du latin "remunerari - ere, donner un présent en retour - viendrait de certaines villes de la GrÚce Antique dans lesquelles quelques ouvriers et artisans étaient payés pour les services qu'ils proposaient.

Cette dynamique semble juste, dÚs lors que nous recevons une compensation en échange d'un savoir, une compétence, une qualité, que nous mettons volontairement à disposition d'un ou d'autres.

Depuis quelques années, nous observons de la souffrance au travail, et une forte une augmentation du nombre de personnes en détresse dans la sphÚre professionnelle.

Pourquoi? Parce que quelque chose n'est pas juste, parce que l'idĂ©e initiale de la rĂ©compense en retour d'un service rendu s'est transformĂ©e en dynamique de travail obligatoire afin de pouvoir se loger, se nourrir, se vĂȘtir, se chauffer, etc....bien que certains, en activitĂ© et salariĂ©s n'aient mĂȘme pas accĂšs Ă  ce minimum devenu un luxe.

Si nous nous targuons d'une évolution liée aux congés payés et au passage aux 35 heures, nous avons encore bien du chemin à parcourir pour recréer l'harmonie dans cette société chaotique qui a fait de l'argent l'énergie principale, au péril de nos vies.

Pour la majeure partie des personnes, le travail est devenu synonyme de souffrance, ce qui en soi, n'est pas surprenant, quand nous connaissons l'origine étymologique du mot.

Ne dit-on d'ailleurs pas d'une femme sur le point d'accoucher, qu'elle est en travail? La naissance de l'enfant sera alors nommĂ©e dĂ©livrance pour la parturiente, ce qui induit qu'il est juste qu'Ă  moment donnĂ© le travail s'arrĂȘte pour laisser place au rĂ©pit et Ă  un meilleur Ă©tat d'ĂȘtre.

Transposons cette notion de délivrance à la sphÚre professionnelle, elle serait alors représentée par les week-ends, les congés et pour celles et ceux qui l'atteignent, la retraite.

Nous pouvons toutefois élargir le champ de la délivrance et observer ce qui n'est pas juste pour nous à cet endroit.

Nous avons imaginé que le travail était une des conditions inhérentes à la vie terrestre et dans ce fantasme sociétal, nous avons complÚtement oublié les vocations d'ùme. Aussi, certains vont se trouver à exercer des métiers qui sont sans rapport avec leur destinée : souffrance,

D'autres vont travailler beaucoup parce qu'ils croient que l'argent rend heureux, et pendant qu'ils sont Ă  cet endroit, la vie passe et celles et ceux qui en font possiblement partie passent avec : souffrance,

Certains vont s'épuiser à obtenir un salaire, soit en travaillant beaucoup, ou en exerçant un métier difficile et vont finir par déclarer une maladie : souffrance,

Le métier choisi est aligné sur la vocation d'ùme mais pas dans les justes conditions, ni au sein du bon espace : souffrance,

Le savoir transmis, le service proposé, les compétences ne sont pas reconnues à leur juste valeur : souffrance...

L'ùme n'est pas venue travailler, elle s'est incarnée afin d'oeuvrer, de créer une oeuvre à partir de sa vocation, pour son bien et celui de tous.

Une Ăąme dans sa vocation et l'espace appropriĂ© ne souffrira jamais parce qu'elle n'est jamais au travail, elle est connectĂ©e sur sa frĂ©quence Ă  ĂȘtre qui elle est et partager cette vibration avec d'autres.

Je crois que la souffrance au travail nous met à l'oeuvre du cÎté de cette mémoire à recouvrer de ce que nous sommes venu proposer à d'autres pour contribuer à l'évolution de la société établie, afin de créer une harmonie à laquelle toutes les ùmes incarnées aspirent.

Certes, cet alignement demande du courage - littéralement traduit par force d'ùme par les Grecs au XIÚme siÚcle - mais qui, en vérité, n'a pas à coeur de vivre la délivrance qui libÚre d'une souffrance dont nous n'avons aucunement besoin dans notre incarnation?

Ne suffit-il pas d'observer avec attention pour voir oĂč nous mĂšne la croyance "qu'il faut travailler dur?", "travailler plus pour gagner plus?", sachant plus nous aurons d'argent plus nous en voudrons, parce que plus nous accumulerons de richesse matĂ©rielle, plus nous nous appauvrirons intĂ©rieurement, creusant l'abysse de nos failles qui ne demandent rien d'autres qu'attention et amour.

Gagner plus d'argent poussera d'autres à vouloir produire plus, afin que nous consommions davantage, nous assujétissant, nous rendant dépendants et d'une certaine façon, esclaves de l'argent et des projections qu'il véhicule, au détriment de certains de nos pairs qui trimeront davantage à produire afin que nous puissions satisfaire nos besoins?


Est-ce vraiment là l'énergie du cercle?

Celle que nous avons envie de nourrir?


Je ne suis pas en train de dire que ça n'est pas bien d'avoir de l'argent, c'est la réalité que nous avons créée, donc pour l'heure, nous en avons besoin.

Je vous invite simplement Ă  vous demander comment il vient Ă  vous.

Si vous peinez pour en "gagner", ou s'il vient en compensation d'un service, d'une compétence, une qualité que vous mettez, avec joie, au service d'autres, sans que ça n'affecte votre état de santé.

Belle journĂ©e Ă  vous qui passez par lĂ , de repos, de vacances, peut-ĂȘtre, et si vous ĂȘtes en poste aujourd'hui, alors je vous souhaite sincĂšrement que vous soyez Ă  la juste place pour votre Ăąme et non Ă  celle Ă  laquelle vous croyez devoir ĂȘtre...


Fraternellement,


MaĂŻtika Coeur Arc-en-ciel

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Salut à toi belle âme,
Un grand merci pour ta visite et ce temps que tu m'as offert à me lire.

 

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Avec joie de te lire!

Florence

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