Respecter ses besoins naturels au sein du vivre ensemble...

Bon jour les belles âmes!

Hier soir, avant de m'endormir, j'ai posé l'intention de recevoir de nouvelles compréhensions sur la notion d'abondance.

Et cette nuit j'ai reçu la visite d'un groupe de cigognes. Bienveillantes, elles sont venues me parler du vivre ensemble et m'ont expliqué ceci. Les cigognes migrent, mues par leurs besoins physiologiques naturels. Elles vont et viennent au rythme des saisons à l'écoute de leur corps et de ce qui est nécessaire à leur vitalité - entendez ici VIE -. Ces migrations se font en groupes, dans une même dynamique de répondre à leurs besoins - naturels -, mémoires engrammées en elles de génération en génération, même si leur itinéraire évolue, modifié par les changements climatiques. Elles m'ont montré le "fonctionnement" de ce collectif que nous formons, qui, certes, se retrouve et se soude par moment, afin de défendre des intérêts communs. Les cigognes m'ont enseigné que les humains migrent collectivement vers des espaces qui ne répondent pas à leurs besoins physiologiques naturels mais à ce qu'ils pensent être leur bien être et leur sécurité.

Or, les hommes cherchent absolument à protéger leurs droits, possessions et acquis, soit ce qui n'est pas physiologique et donc le plus instable et insécurisant. Ces cigognes m'ont montré que les hommes se mobilisent pour leurs besoins matériels, au détriment de leurs besoins naturels. Or, ce qui permet d'avoir une vie stable et équilibrée, c'est une bonne santé physique, psychique et émotionnelle, ce sont les fondements.

Une invitation, pour celles et ceux que ça appelle, à nous demander pourquoi nous cherchons à nourrir et alimenter ce qui ne sera jamais ni stable ni acquis - nous sommes venus incarner dans la matière pas dans le matériel - plutôt que nourrir ce qui nous permettrait d'avoir une vie harmonieuse parce qu'en bonne santé.

Les cigognes nous disent avec amour et bien-veillance que c'est en cela que les humains ne s'aiment pas assez.

N'importe quel animal répond instinctivement à ses besoins physiologiques, qu'est-ce qui nous a coupés de cet instinct?

Merci aux cigognes qui ont fait ce déplacement pour me partager cet éclairage et ce rappel d'où naît l'abondance.

Je souhaite que ce partage fasse écho si vous en êtes là.

Depuis le coeur

Maïtika