Tu naîs toi, quand tu nettoies, ce qui n'est toi...
- maitikacoeurarcenc
- 18 avr. 2023
- 2 min de lecture

Bon jour les belles âmes!
J'aime régulièrement partager cette pensée, elle sonne comme un rappel. Nous sommes NOUS, dans notre plus pure authenticité, notre beauté et notre Divine essence, quand nous quittons le rôle du personnage masqué. Celui qui fait semblant pour faire plaisir et être aimé, qui dit oui par peur d'être rejeté, qui se rallie à la majorité pour être validé, légitimé. Ce personnage qui fait le choix de la raison plutôt que celui du cœur, celui qui se croit tout petit, ou au contraire supérieur aux autres, le prétendument sachant, suffisant ou qui se suffit de rien à souvent entendre que c'est tout ce qu'il vaut....rien. Le personnage, c'est celui qui, pétri de peurs et de croyances, juge, (se) compare, envie, médit, manipule - souvent très inconsciemment - pour atteindre son but. Le personnage est un acteur, il aime les drames, a une préférence pour l'interprétation de la victime, ça fait plus d'audience ;-) Le personnage c'est tout ce que nous ne sommes pas en vérité.
Mais alors, comment sortir de la peau de cet imposteur?
En prenant l'habitude de s'observer en conscience et avec bienveillance.
Chaque fois que vous prendrez ce temps d'écoute, vous verrez le personnage - ou petit moi - ou le SOI. Ils sont très différents, vous ne pouvez pas vous tromper. Avec le temps, vous démasquerez très vite l'imposteur et vous moquerez même gentiment de lui, en vous disant "vu!" J'aime quand je démasque le mien, il m'amuse. Il m'a fallu beaucoup de temps, vivre de nombreuses expériences, marcher longtemps, avant de comprendre ce jeu / je de rôle que nous jouons tous dans cette grande pièce de théâtre qu'est la vie.
Mais il arrive un jour où le cœur nous rattrape et nous dit "attention où tu marches, tu n'y es pas!"
Alors, on réajuste et on prend conscience de tout ce que l'on a nettoyé, qui n'es pas nous ni à nous, pour re-naître (à) SOI.
Mes amitiés à votre personnage et au plaisir de rencontrer votre SOI.
Depuis le coeur,
Maïtika







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